Malgré son importance, souvent
marginalisé et considérer comme culture secondaire ... c'est le cas de la culture
des figues de barbarie, mais ces dernières années les biens faits des figues de
barbarie ont fait de cette culture une histoire controversée et échanges entre
hommes d'affaires, investisseurs et consommateurs. Oui, il y a une relation entre
cet affaire est «l'argent», il s'est avéré que c’est un secteur économique ou
on peut investir notre argent sans trop de risque. En Tunisie et aux pays
arabes, historiquement, les figues de barbarie n’ont jamais étés classées comme
arbres fruitiers et souvent considérées comme plantes fourragères, secondaires
même. Dans des pays comme le Mexique, le Pérou, le Chili et plus proche de nous
en Italie, les figues de barbaries sont classés comme étant des arbres
fruitiers leurs fruits vendables avec un marché mondial qui se développe d’une
année à l’autre.
En Tunisie on connait presque tous les fruits et on peut
dire qu’aucun n’a raté son gout, mais tout le monde considère les cactus comme
culture fourrage ou arbuste épineuse ou non épineuse utilisée pour protéger les
vergers et marquer leurs frontières, certains l’utilisent pour la fixation du sol
et la lutte contre l’érosion, ce qui est sure c’est : Rares ceux qui plantent le
cactus pour des fins de production des fruits.
En Tunisie, on rencontre les figues de barbarie en forme de
lignes qui délimitent les vergés et rares sont les parcelles exploitées en
plein par cette « je dois dire arbuste ». Les superficies de cactus inermes
et épineux en Tunisie sont estimées à
500000 ha.
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