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jeudi 24 juillet 2014

Huile de figue de barbarie:

Elle est précieuse, rare et incroyablement efficace. Cette huile est un véritable sérum 100% pure à l'efficacité redoutable, elle attenue les rides, lisse les contours des yeux.

L'huile de pépin de figue de barb
arie est restructurante, nourrissante, elle renforce le film hydrolipidique et donne du tonus à votre peau. Elle a un effet lift profond grâce à ces omégas 3, 6, 7 et 9. L'huile de pépin de figue de barbarie est très riche en acide gras essentiel dont l'acide linoléique plus de 68% et sa vitamine E. Elle permet de stimuler les céramides.


Cette huile est un allié exceptionnel pour lutter contre le vieillissement cutané. Elle servira de base par les plus grands laboratoires cosmétiques pour créer les lignes les plus redoutables d'anti-âge.

Fabrication : L'huile est obtenue par première pression à froid des graines contenues dans la figue (Opuntia ficus indica). Cette huile est transformée manuellement et mécaniquement (aucune chaleur n'est utilisée) et filtrée naturellement sans aucun traitement ou opération de raffinage. En suivant ce procédé, nous tentons de préserver les nutriments et les bienfaits de l'huile.

Le coût de cette huile est généralement très élevé : les petites graines contiennent très peu d'huile (de 5 à 6 % d'huile seulement). Il y a donc un rendement très faible. L'huile de figue de barbarie est une huile précieuse : il faut environ une tonne de figues pour obtenir un litre d'huile.

Aspects : L'huile de figue de barbarie est une huile douce et sucrée. Sa couleur est jaune tirant sur le vert pâle. L'odeur est naturelle, agréable, assez végétale. L'aspect est visqueux mais sa texture est légère. Convient à tous les types de peau. Aucuns colorants, ni conservateurs.

Les bienfaits : 

Soin de la peau : Antioxydant puissant qui freine le vieillissement des cellules, stimule leur renouvellement et aide à se protéger des radicaux libres.

Antirides, atténue le nombre et la profondeur des rides et des ridules ainsi que les poches et les cernes sous les yeux.

Atténue les rougeurs, calme les coups de soleil.

Restructurant, cicatrisante, réparatrice, elle a une action positive sur les cicatrices.

Raffermissant et procure un effet lissant - c'est un excellent tenseur. Resserre les pores de la peau redonne à la peau, du visage et du buste, tonus et fermeté.

Hydratante, nourrissante - son action émolliente va assouplir et adoucir la peau en profondeur.

Soin des cheveux : L'huile s'applique également sur les cheveux. Elle les nourrira et les hydratera. En laissant l'huile agir sur les cheveux au minimum une quinzaine de minutes L'huile de figue de barbarie étant une huile sèche et de grande qualité, ne laissera pas les cheveux gras ni collant. Les cheveux retrouvent éclat, brillance, souplesse et douceur.

Soin des ongles : L'huile de figue de barbarie peut être appliquée comme soin pour les ongles : un massage régulier de cette huile sur les ongles permet de les fortifier et de les rendre moins cassant.
https://www.facebook.com/pages/Produits-cosm%C3%A9tiques-%C3%A0-base-de-figue-de-barbarie-bio/1430679600496836

vendredi 18 juillet 2014

Le figuier de barbarie


C'est une plante vivace en arbuste qui peut atteindre de 3 à 5 mètres de hauteur, ses feuilles sont réduites en épines et ses tiges appelées « raquettes » ont une  forme aplatie, selon les espèces les raquettes sont de dimensions de 30 à 40 cm de longueur  sur 15 à 25 cm de largeur et de 1,5 à 3 cm d'épaisseur. Ces raquettes, unis les uns aux autres, tendent à former des branches. Celles de la base se lignifient pour former au-delà de la quatrième année de croissance un véritable tronc.
Comme les feuilles de figuier de barbarie sont réduites en épines, la couleur verte et les fonctions chlorophylliennes sont affectées aux raquettes « tiges » qui servent en plus de ces fonctions comme réservoirs pour la conservation de l’eau et donnent la propriété de résistance à la sécheresse à l’espèce opuntia. La propriété de lutte contre la sécheresse est assurée par les cladodes ou raquettes via une cuticule céreuse dite « cutine » qui limite la transpiration et les protège contre les prédateurs.

mardi 15 juillet 2014

les figues de barbrie

Malgré son importance, souvent marginalisé et considérer comme culture secondaire ... c'est le cas de la culture des figues de barbarie, mais ces dernières années les biens faits des figues de barbarie ont fait de cette culture une histoire controversée et échanges entre hommes d'affaires, investisseurs et consommateurs. Oui, il y a une relation entre cet affaire est «l'argent», il s'est avéré que c’est un secteur économique ou on peut investir notre argent sans trop de risque. En Tunisie et aux pays arabes, historiquement, les figues de barbarie n’ont jamais étés classées comme arbres fruitiers et souvent considérées comme plantes fourragères, secondaires même. Dans des pays comme le Mexique, le Pérou, le Chili et plus proche de nous en Italie, les figues de barbaries sont classés comme étant des arbres fruitiers leurs fruits vendables avec un marché mondial qui se développe d’une année à l’autre.
En Tunisie on connait presque tous les fruits et on peut dire qu’aucun n’a raté son gout, mais tout le monde considère les cactus comme culture fourrage ou arbuste épineuse ou non épineuse utilisée pour protéger les vergers et marquer leurs frontières, certains l’utilisent pour la fixation du sol et la lutte contre l’érosion, ce qui est sure c’est : Rares ceux qui plantent le cactus pour des fins de production des fruits.

En Tunisie, on rencontre les figues de barbarie en forme de lignes qui délimitent les vergés et rares sont les parcelles exploitées en plein par cette « je dois dire arbuste ». Les superficies de cactus inermes et épineux  en Tunisie sont estimées à 500000 ha.

mardi 23 juillet 2013

FAO




L’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), joue un rôle de chef de file dans les efforts internationaux de lutte contre la faim. En Tunisie, la stratégie de la FAO consiste à appuyer le gouvernement tunisien dans la mise en œuvre de nombreux projets sur le terrain et au moyen d’une assistance technique appropriée. La Tunisie accueille également le Bureau sous régional de la FAO pour l’Afrique du Nord (SNEA). Créé en 1996, son action couvre les cinq pays de l’UMA et permet d’assurer la planification générale des activités de la FAO dans la région. Avec l’appui de ses unités techniques, le Bureau sous régional pour l’Afrique du Nord appui les efforts des Etats membres de l’UMA dans cinq domaines prioritaires.
 - Développement de stratégies et de programmes en vue de renforcer le secteur privé dans la production agricole, conformément aux accords internationaux (Accords de l’OMC) et régionaux (Accord d’association avec l’Union européenne) dans lesquels ces pays sont engagés ; et aide aux pays en vue de garantir la sécurité alimentaire.
 - Préservation des plantes dans la région pour un développement durable de la production agricole et une meilleure qualité des produits agricoles destinés à la consommation locale et à l’exportation.
 - .Protection des ressources naturelles et conservation des eaux et du sol (CES).
 - Création d’un cadre régional pour la promotion, la coordination et l’harmonisation de stratégies de prévention et de lutte contre les maladies animales transfrontalières et zoonoses et renforcement des capacités des services vétérinaires dans la région ; une initiative conjointe de la FAO et de l’OIE.
 - Promotion aux niveaux national, régional et international de toute action, recherche et formation en vue d’assurer la lutte préventive, et faire face aux invasions de criquets pèlerins dans la région occidentale de son aire d’habitation, regroupant l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique du Nord-Ouest.
 Les autres bureaux sous-régionaux pour le continent africain se trouvent au Gabon pour l’Afrique centrale, au Ghana pour l’Afrique de l’Ouest, en Ethiopie pour l’Afrique orientale et au Zimbabwe pour l’Afrique australe. 
Adresse : 43, Avenue Kheireddine Pacha, 1002 Tunis Belvédère BP 300 1082 Tunis Mahrajène 

Tél : (+216) 71 906 553
Fax : (+216) 71 901 859 
E-mail: fao-snea@fao.org 
Site Web : http://www.fao.org/world/subregional/snea/index_fr.htm 

Le sol

Chaque sol est le produit de l’altération de la matière lithologique originaire que les divers facteurs de milieu ont favorisée au fil du temps. L’intensité de ces facteurs est influencée par la topographie et par l’activité biologique. A quelques exceptions près, les sols des climats tempérées humides sont généralement moins altérés que les sols des climats tropicaux humides à cause des températures plus basses et d’une activité biologique moins intense.
Le sol se forme à l’interface entre l’atmosphère et les dépôts plus ou moins consolidés de la croute terrestre, roches et minéraux suite à l’action des forces physiques, chimiques et biologiques. L’action combinée de ces facteurs climatiques génère un système poreux, différent de la matière de départ et caractérisé par une série stratifiée d’horizons qui en forment le profil. Les horizons du sol peuvent facilement être distingués sur la base de leur couleur, dureté, texture et organisation de structure. Les quatre composantes principales du sol à savoir les minéraux, la matière organique, l’eau et l’air, peuvent varier considérablement ; mais ils sont intimement liés les uns aux autres et forment donc un tissu poreux, imprégné d’eau et d’air qui crée un milieu favorable à la vie des végétaux, des micro-organismes et des animaux.
D’un point de vue chimique, les sols sont des systèmes bio-géochimiques, caractérisés par diverses composantes solides, liquides et gazeuzes, ouverts à des échanges de matière et d’energie avec les autres parties de l’environnement, telle l’atmosphère, l’hydrosphère et la biosphère. Les flux entre les différentes parties varient énormément dans l’espace et dans le temps, mais ils sont déterminants pour le développement des profils et pour le contrôle des principaux processus qui règlementent la fertilité et plus en général, la qualité du sol.

vendredi 31 mai 2013

PISTACHIER (vent, grêle, lumière et altitude)

Effet du vent : (le mal nécessaire)
Bien que le pistachier compte parmi les espèces les plus résistantes au vent on souligne que ce dernier a des effets néfastes sur cette espèce à différents stades de culture.
.           le vent peut être responsable de chute de fleurs males avant maturité de pollens.
.           les vents chauds sont souvent à l’origine d’une mauvaise fécondation, ils dessèchent les pollens qui germent mal.
.           en cas de pollinisation artificielle le vent peut être à l’origine d’une mauvaise répartition de pollens, opérez par temps calme.
.           en début de végétations, les jeunes pousses à l’état herbacé peuvent être l’objet de dégâts (dessèchement en cas de vents chauds précoces), ou se cassent et tombent lorsque ils sont très fragiles en présence de vents forts.
.           en maturité les vents forts peuvent provoquer la chute des fruits.
.           en revanche sans le vent la pollinisation naturelle ne peut être convenablement faite !
Effet du grêle :
On peut dire et souligner que la grêle est l’ennemi le plus dangereux du pistachier, une tempête de grêle peut rendre à zéro un verger de pistachier. L’écorce de pistachier est très sensible et se cicatrise très mal surtout en jeune âge, les branches conservent les plaies pendants des années parfois il sera difficile de continuer avec des arbres a charpentières gravement blessées et présentent de nombreuses plaies très profondes qui ne se cicatrisent jamais. Néanmoins après une grêle on préconise une taille des rameaux fortement blessés, un masticage des plaies profondes. Normalement « entre nous ! » les agriculteurs des couloirs grêleux doivent rayer le pistachier de leurs plans de cultures. Les fruits sont les moins sensibles à la grêle seul l’épicarpe peut être touché l’amandon n’en souffre guère.
Lumière :
Le pistachier déteste les grandes chaleurs qui raccourcirent son cycle végétatif, mais c’est une plante «héliopile »    qui aime la lumière et donne de bons résultats en emplacement ensoleillés.
Altitude :
Le pistachier s’adapte facilement en fonction de son milieu chaud ou froid, haut ou bas, dans les régions de grandes cultures « Sicile, Syrie, Iran, Turquie.. » le pistachier se trouve à des altitudes comprises entre 500 et 1200 m, en Grèce et en  Tunisie à des altitudes proches de zéro m, en Iran on rencontre des pistachiers à 2000 m.

jeudi 30 mai 2013

LE PISTACHIER ET L'EAU

Effet de l’eau sur la plante :
Chez le pistachier la période de végétation est très courte, la végétation de l’arbre démarre en Avril et s’arrête le plus souvent en mois de Juin. Pour profiter de cette courte période les pluies ou l’irrigation doivent arriver avant le débourrement « fin Mars ».
C’est pendant cette période de trois et parfois de deux mois d'activité végétative que l’eau aura le maximum d’efficacité sur la végétation, attention au drainage, les racines de pistachier sont très sensibles à la pourriture.
Effet de l’eau sur les fruits de pistachier :
En mois d’Aout, Septembre les fruits de pistachier arrivent a maturité, en cette période le péricarpe est en cours de dessèchement, les pluies renversent le phénomène et peuvent provoquer des dégâts sur les fruits qui se détachent facilement ; c’est un phénomène purement naturel dont on ne peut pas intervenir mais il est souhaitable de le prendre en considération lors du choix de l’espèce dans une zone bien déterminée, entre autre il faut mettre l’accent sur les variétés précoces..